En flammes...?
Publié : dim. 13 nov. 2005 19:56
Nous avons rappelé dans ce Forum les 50 années du pogrom anti-grecque de Constantinople-1955, et sans doute aucune il le méritait.
Il n’était pas le premier déclenchement d’haine sur les chrétiens et sûrement ne sera pas le dernier. Seulement que dans ces lointains jours presque tout le monde appelait un chat un chat et un turc… un turc.
Mais les grecs, les orthodoxes, les chrétiens tout court, avaient des « valeurs » à soutenir bien que mal et même la vergogne les aurait poussé a parler clair.
Aujourd’hui la prudence, l’abondance des craintes humains, le profil obligatoirement contestataire contre tout ce que peut être taxé de chrétien, européen , civilisé, et même peut être le peur, ici ou là, de quelques normes, font du silence la coutume…
Nous recevons dans ce lointain sud des nouvelles que, très sincèrement, peindrent la situation de la France dans un état de commotion bien pire que celui-là que nous avons connu ici dernièrement.
Mais, bien que nous sommes loin, cependant ne sommes pas aveugles. La France est en flammes pour payer son insoumission face à la croisade d’Irak et son éloignement de la Grande Bretagne, puisque la « couronne » avait la nécessité absolue des soldats européens pour mourir en son nom. Comme on sait les »british » n’épargnent pas de la sang …de ses alliés.
Mais, (il y a toujours un « mais »), la cécité des dirigeants françaises que avaient laissé courir la sang des « harkis », selon l’usage des britanniques dans ses (ex ?) colonies, pour courir après à la recherche d’un brevet que les assurerait l’état de grâce politique en oubliant ces populations et en remplissant l’hexagone des vagues des gens bien hostiles (ou devenus tels par les agissements des pions du Vatican) cette fois a trouvé son corollaire. La manipulation dès l’outremer (non, non pas au sud, bien à votre ouest… regardez vers Downing Street), c’est la cause.
Nous, nous les orthodoxes je veux dire, sommes accoutumés aux comportements sinueux de ces deux puissances politique-religieuses avec ses princes « chefs d’église », lesquels s'accordent la plupart des fois dès il y a presque deux siècles.
Nous les avons subi. On pourrai faire un catalogue de ses tromperies et trahisons.
Pour nous, entre-temps que notre Patrie des cieux nous est lointaine, nous nous devons toujours au service de notre Patrie terrestre (terreuse disait Péguy), parce que « celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas? » (1 Jean 4:20). Nous sommes enracinés dans le sol de par la volonté de Dieu, donc…
Je sais qu’on me pourra reprocher que ce message est purement géopolitique, à ce que je pourrai répondre qu’il a un fondement théopolitique.
Bien sûr, je vous exprime ma solidarité, et pardonnez-moi si je vous ai troublé.
Il n’était pas le premier déclenchement d’haine sur les chrétiens et sûrement ne sera pas le dernier. Seulement que dans ces lointains jours presque tout le monde appelait un chat un chat et un turc… un turc.
Mais les grecs, les orthodoxes, les chrétiens tout court, avaient des « valeurs » à soutenir bien que mal et même la vergogne les aurait poussé a parler clair.
Aujourd’hui la prudence, l’abondance des craintes humains, le profil obligatoirement contestataire contre tout ce que peut être taxé de chrétien, européen , civilisé, et même peut être le peur, ici ou là, de quelques normes, font du silence la coutume…
Nous recevons dans ce lointain sud des nouvelles que, très sincèrement, peindrent la situation de la France dans un état de commotion bien pire que celui-là que nous avons connu ici dernièrement.
Mais, bien que nous sommes loin, cependant ne sommes pas aveugles. La France est en flammes pour payer son insoumission face à la croisade d’Irak et son éloignement de la Grande Bretagne, puisque la « couronne » avait la nécessité absolue des soldats européens pour mourir en son nom. Comme on sait les »british » n’épargnent pas de la sang …de ses alliés.
Mais, (il y a toujours un « mais »), la cécité des dirigeants françaises que avaient laissé courir la sang des « harkis », selon l’usage des britanniques dans ses (ex ?) colonies, pour courir après à la recherche d’un brevet que les assurerait l’état de grâce politique en oubliant ces populations et en remplissant l’hexagone des vagues des gens bien hostiles (ou devenus tels par les agissements des pions du Vatican) cette fois a trouvé son corollaire. La manipulation dès l’outremer (non, non pas au sud, bien à votre ouest… regardez vers Downing Street), c’est la cause.
Nous, nous les orthodoxes je veux dire, sommes accoutumés aux comportements sinueux de ces deux puissances politique-religieuses avec ses princes « chefs d’église », lesquels s'accordent la plupart des fois dès il y a presque deux siècles.
Nous les avons subi. On pourrai faire un catalogue de ses tromperies et trahisons.
Pour nous, entre-temps que notre Patrie des cieux nous est lointaine, nous nous devons toujours au service de notre Patrie terrestre (terreuse disait Péguy), parce que « celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas? » (1 Jean 4:20). Nous sommes enracinés dans le sol de par la volonté de Dieu, donc…
Je sais qu’on me pourra reprocher que ce message est purement géopolitique, à ce que je pourrai répondre qu’il a un fondement théopolitique.
Bien sûr, je vous exprime ma solidarité, et pardonnez-moi si je vous ai troublé.