Jusqu'à il y a peu, je n'avais jamais lu une étude sur les rapports entretenus entre les nazis et les musulmans.
Voici un extrait tiré d'un article intitulé "Hitler et les musulmans" qui est édifiant :
"Le gouvernement aussi des Arabes en Espagne fut quelque chose d’infiniment distingué : les plus grands scientifiques, penseurs, astronomes, mathématiciens, une des époques les plus humaines, en même temps qu’une chevalerie colossale. Lorsque, plus tard, y vint le Christianisme, alors on peut dire : les barbares. La chevalerie qu’ont les Castillans est en réalité un héritage arabe. Si Charles Martel n’avait pas vaincu à Poitiers : puisque le monde juif s’est déjà emparé de nous – que le Christianisme est bien quelque chose d'insignifiant - nous aurions bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l’héroïsme – : le combattant seul a le septième ciel! Les Germains auraient avec cela (l'islam) conquis le monde, et ce n’est que par le Christianisme que nous en avons été tenus éloignés. "
Adolphe, Hitler, 187ème propos (tenu au Werwolf, l’après-midi du 27 Août 1942), in « Hitlers Tischgepräche im Führerhauptquartier (« Propos de table d’Hitler au grand quartier général du Führer 1941-42 »), chez l’éditeur Gerard Ritter, Munich, 1951. Ce sont des notes prises, sur l’ordre du secrétaire de Adolf Hitler, le Reichsleiter Martin Bormann, par Heinrich Heims.
Vous trouverez la totalité de l'article en cliquant sur ce lien :
http://www.radioislam.org/hitler/islam.htm
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Y aurait-il dans le germanisme quelque chose de viscéralement anti-chrétien, même si celui-ci peut avoir le visage du christianisme comme ce fût le cas avec Charlemagne et l'Eglise franque?
Je ne peut m'empêcher de penser à ce qu'est devenu le catholicisme romain lorque je lis la déclaration de Mgr. Sibour (qu'Alexei S. Khomiakov relate dans son ouvrage "L'Eglise latine et le Protestantisme au point de vue de l'Eglise d'Orient") :
Mgr Sibour, archevêque de Paris, 1854:
“La guerre que la France entame avec la Russie n'est pas une guerre politique, mais une guerre sainte; ce n'est pas une guerre d'État contre État, d'un peuple contre un peuple, mais uniquement une guerre religieuse. (...) La véritable raison de cette guerre est dans la nécessité de faire reculer l'hérésie de Photius, de la mater, de la terrasser; tel est le but avoué de cette croisade, tel était le but de toutes les croisades, bien que ceux qui y participaient ne le reconnussent pas."
Comme l'a déjà fait remarqué Claude, par "hérésie de Photius", il faut entendre l'Orthodoxie en général.