François d'Assise - où est l'harmonie cosmique ?

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Georges Papathanassios
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Message par Georges Papathanassios »

ALACOQUE ? Je ne connaissais que les oeufs du même nom!

Après une recherche, voilà ce que je trouve et qui est bien affligeant: qu'est ce que ce charabia psycho-affectif veut dire ? Spiritualité Alacoque peut être, à l'eau de rose surement....

Sainte Marguerite-Marie Alacoque


Confidente du Sacré-Coeur (1648-1690)
Fêté le 8 octobre



C’est pour instituer et propager le culte de Son Sacré Coeur que Jésus-Christ Se choisit, au monastère de la Visitation de Paray-le-Monial, une servante dévouée en Marguerite-Marie Alacoque : une des gloires de la France est de lui avoir donné naissance.

Prévenue par la grâce divine dès ses premières années, elle conçut de la laideur du péché une idée si vive, que la moindre faute lui était insupportable ; pour l’arrêter dans les vivacités de son âge, il suffisait de lui dire : "Tu offenses Dieu !" Elle fit le voeu de virginité à un âge où elle n’en comprenait pas encore la portée.

On raconte qu’elle aimait, tout enfant, à réciter le Rosaire, en baisant la terre à chaque Ave Maria. Après sa Première Communion, elle se sentit complètement dégoûtée du monde ; Dieu, pour la purifier, l’affligea d’une maladie qui l’empêcha de marcher pendant quatre ans, et elle dut sa guérison à la Sainte Vierge, en échange du voeu qu’elle fit d’entrer dans un Ordre qui Lui fût consacré. Revenue à la santé, elle oublia son voeu, et, gaie d’humeur, expansive, aimante, elle se livra, non au péché, mais à une dissipation exagérée avec ses compagnes.

De nouvelles épreuves vinrent la détacher des vanités mondaines ; les bonnes oeuvres, le soin des pauvres, la communion, faisaient sa consolation. Enfin elle entra à la Visitation de Paray-le-Monial. C’est là que Jésus l’attendait pour la préparer à sa grande mission.

Le divin Époux la forma à Son image dans le sacrifice, les rebuts, l’humiliation ; Il la soutenait dans ses angoisses, Il lui faisait sentir qu’elle ne pouvait rien sans Lui, mais tout avec Lui. "Vaincre ou mourir !" tel était le cri de guerre de cette grande âme.

Quand la victime fut complètement pure, Jésus lui apparut à plusieurs reprises, lui montra Son Coeur Sacré dans Sa poitrine ouverte : "Voilà, lui dit-Il, ce Coeur qui a tant aimé les hommes et qui en est si peu aimé !" On sait l’immense expansion de dévotion au Sacré Coeur qui est sortie de ces Révélations. La canonisation de la Sainte a eu lieu le 13 mai 1920.
Jeanne Saint Gilles
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Message par Jeanne Saint Gilles »

De grâce Georges!!!! Indiquez vos sources ça nous intéresse de savoir d'où vient ce texte. Et plus généralement, essayez d'indiquer les sources, un lien web, le titre, l'édietru etc...

De grâce Jonas, ne créez pas un nouveau fil pour un qui existe déjà... On jongle comme des fous

Merci
Jérusalem quand pourrai-je te voir?
Georges Papathanassios
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Message par Georges Papathanassios »

http://www.catholique.org/saint-133.php

Voilà le lien vers ce curieux personnage catholique romain.

Confidente du "Sacré Coeur"...
Antoine
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Message par Antoine »

reclassement du Message de Jonas "pour Antoine"
On ne demandera pas à un évêque qui s'est laissé aller à des propos légers et démagogiques autre chose que de rectifier ses erreurs."
C'est votre façon de qualifier ces propos. Je pense qu'il est bon d'aller directement à la source.
Le texte ci dessus a été fait par le monastère Sretensky à Moscou et l'analyse qu'il fait des attitudes et propos de François d'Assise est éclairée par la lecture des Pères sur leur théoria et sur leur pratique de la sainteté.
Cette présentation de la vie de François d'Assise est partiale.
Vous semblez ignorer que ce que vous appelez Eglise orthodoxe est l'Eglise indivise du premier millénaire dont Rome s'est séparé remplaçant au fil des siècles la théologie par de la propagande au service de son pouvoir temporel.
Je ne perçois pas L'Eglise orthodoxe comme l'Eglise indivise du premier millénaire. Mon avis personnel est que l'Eglise indivise du premier millénaire n'est plus et que l'Eglise orthodoxe est en est l'héritière.
Ce qui est très suspect, ce sont des marques extérieures de "sainteté" qui apparaissent comme par magie après le schisme et qui sont inconnues de l'Eglise durant tout un millénaire (je pense aux stigmates par exemple)
Ces marques extérieures ne me semblent pas suspectes car elles sont accompagnés chez le saint d'une profonde charité et d'une profonde vie intérieure, de nombreux miracles: les saints d'occident ont relevé la foi de beaucoup de personnes. Enfin beaucoup n'ont pas demandé en vain leur intercession au Ciel. Nous ne sommes pas maître des manifestations de Dieu.
Il est facile de casser du sucre sur François d'Assise, éloigné qu'il est de nous dans le temps , beaucoup moins sur Padre Pio. Je voudrais souligné
quand même que l'institution catholique a très souvent été hostile aux saints, a souvent persécuté ses saints avant de les canoniser par la suite.
Antoine
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Message par Antoine »

Georges, faites aussi la recherche sur le forum...
Antoine
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Message par Antoine »

Jonas a écrit :Il est facile de casser du sucre sur François d'Assise, éloigné qu'il est de nous dans le temps
Dans ce cas il devient inutile de lire les écrits des Pères, la vie des Saints, les Evangiles, Epître et Ecriture Sainte et tout récit historique quelconque, car ces récits relatent des évènements "éloignés de nous dans le temps"

Ce qui est non pas partial mais très mystificateur c'est ce que l'on a fait en occident de la figure de François d'Assise. Et quand on lit sa vie avec le regard de la Tradition, on est vraiment surpris et ce qu'écrit le monastère de Stretensky devient évident. Mais opposez-nous donc une autre analyse des évènements et propos relatés au lieu de vitupérer sans argumentation.
jonas
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Simple

Message par jonas »

Je vous renvoie aux biographies de Saint François d'Assise réalisées dans le monde catholique ou au "Padre Pio", d'Yves Chiron, pour avoir un autre son de cloche.
Jean-Serge
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Illusion spirituelle

Message par Jean-Serge »

En fait, nous traitons dans tout cela de l'illusion spirituelle... Je ne pense pas que François d'Assise ait été animé de mauvaises intentions... Je crains juste que le milieu où il vivait, la coupure avec la tradition patristique a amené à des excès qui relèvent de l'illusion spirituelle.

Pour Padre Pio, je pense qu'il s'inscrit dans la longue tradition catholique qui fait que recevoir des stigmates est un must désiré consciemment ou inconsciemment... J'ai écouté Radio Courtoise il y a 2 jours (mercredi soir) et j'ai appris qu'il y avait tout de même 200 stigmatisés recensés dans le monde... De même si on a une apparition, c'est aussi un must... Je ne pense pas en conséquence que Padre Pio soit une mauvaise personne : elle s'inscrit juste dans un courant qui a rompu avec l'enseignement des Pères sur l'illusion spirituelle.

La vie de Marie Alacoque citée par Georges est à ce sujet symptomatique surtout la chute :

"Quand la victime fut complètement pure, Jésus lui apparut à plusieurs reprises, lui montra Son Coeur Sacré dans Sa poitrine ouverte : "Voilà, lui dit-Il, ce Coeur qui a tant aimé les hommes et qui en est si peu aimé !"

L'apparition est présentée comme le summum de la pureté. Cela est vraiment dangereux. Il y a dans tout cela un sensualisme inquiétant... Et pour la suite, c'est la chirurgie cardiaque avant le professeur Barnard!!!

Au sujet de l'illusion spirituelle, lire L'Echelle sainte de Saint Jean Climaque qui en traite à un passage, invitant à se méfier, des rêves apparitions etc.
Priidite, poklonimsja i pripadem ko Hristu.
Antoine
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Message par Antoine »

Pour l'histoire de Marie Alacoque, ce que vous avez présenté est très édulcoré. Voici ce que que Wladimir Guettée nous en dit dans son livre "De la Papauté", textes choisis et présentés par Patric Ranson, L'äge d'homme p 249- 251. Tous les preuves se trouvent dans "Histoire de l'Eglise de France".

Wladimir Guettée a écrit :Quelques mots sur l'origine du culte du Sacré-Coeur sont nécessaires pour l'intelligence de ce que nous allons dire.
Le premier théologien qui l'ait enseigné est un jésuite nommé La Colombière, mort en 1682. Il était confesseur d'une religieuse de la congrégation dite de la Visitation et nommée Marie Alacoque. Le père La Colombière prêta à sa pénitente une foule de révélations, qui passèrent, de ses papiers, dans plusieurs publications faites par les jésuites, et dans la vie de Marie Alacoque, publiée par Languet évêque de Soissons, évêque jésuite s'il en fut jamais.
Lorsque Languet publia cet ouvrage, il y eut un tel scandale que, de concert avec le curé de Saint-Sulpice de Paris, son frère, il se hâta de faire disparaître les exemplaires. Quelques-uns cependant avaient été vendus, et il en parut une traduction italienne. Le pape Clément XIV la condamna aussitôt en 1772.
Marie Alacoque, religieuse de Paray-le-Monial, au diocèse d'Autun, était morte dès 1690.
Par ces dates, on voit que le culte du Sacré-Coeur ne remonte pas à une très-haute antiquité ; à la fin du dix-huitième siècle, la papauté ne lui était pas encore favorable.
Mais les jésuites se mirent si bien à l'oeuvre depuis cette époque, que le culte qui avait leur prédilection fit de rapides progrès. Leur but évident était d'établir le Nestorianisme. Deux de leurs Pères, Hardoin et Berruyer, avaient enseigné cette hérésie. Tandis que les évêques, unis au pape, condamnaient les ouvrages de ce dernier écrivain, les bons Pères en faisaient publier secrètement une seconde édition . Ne pouvant braver ostensiblement l'autorité ecclésiastique par un enseignement théologique évidemment hérétique, ils eurent recours à la dévotion pour insinuer leur erreur sous une pieuse apparence, et, par leurs récits surnaturels, ils lui donnèrent comme une consécration divine. Berruyer fut abandonné ; le père La Colombière et sa Marie Alacoque conduisirent plus sûrement au même but.
Marie Alacoque prétendait que la dévotion au Sacré-Coeur avait été révélée. Un jour qu'elle était en prière devant le saint sacrement, Jésus lui dit, en lui montrant son coeur, qu'il exigeait d'elle que le vendredi après la Fête-Dieu fût consacré au culte de son coeur, en récompense des témoignages d'amour qu'il avait donnés aux hommes ; adresse-toi, continua-t-il, à mon serviteur le Père La Colombière, jésuite ; dis-lui de ma part de travailler autant qu'il lui sera possible à établir cette dévotion, afin de donner ce plaisir à mon coeur. Marie Alacoque communiqua au P. La Colombière la mission divine qu'elle avait reçue et ajouta : Jésus-Christ espère beaucoup de votre Compagnie.
La Compagnie des jésuites, après s'être ainsi délégué de la part de Jésus-Christ, la mission d'établir la dévotion au Sacré-Coeur, y travailla par tous ses moyens ordinaires.
D'abord les révélations se multiplièrent, si nous en croyons le P. La Colombière et l'historien Languet. Marie Alacoque, d'après eux, passait des nuits presque entières en colloques amoureux avec son bien-aimé Jésus. Un jour, il lui permit d'appuyer sa tête sur sa poitrine et lui demanda son coeur. Elle y consentit ; alors Jésus le prit, le mit dans le sien, puis le lui rendit. Dès lors, elle sentit une douleur continuelle au côté par où son coeur était sorti et rentré. Jésus lui conseilla de se faire saigner quand la douleur serait trop forte.
Marie Alacoque donna son coeur à Jésus par un acte en bonne forme qu'elle signa de son sang en cette manière : « Soeur Marguerite Marie, disciple du divin amour de l'adorable Jésus. » En retour de cet acte, Jésus lui en fit un autre par lequel il la constitua héritière de son coeur pour le temps de l'éternité : « N'en sois pas chiche, lui dit-il, je te permets d'en disposer à ton gré, tu seras le jouet de mon bon plaisir. ». A ces mots Marie Alacoque prit un canif et traça sur sa poitrine le nom de Jésus en caractères grands et profonds.
Un jour, la sainte Vierge lui apparut, tenant dans ses bras Jésus enfant. Elle lui permit de le caresser et de le tenir entre ses bras. Marie Alacoque lui dit, entre autres choses intéressantes, qu'elle voulait être en prison dans son coeur jusqu'à ce qu'elle eût payé toutes ses dettes.
Languet s'étend fort longuement sur la promesse de mariage intervenue entre Jésus et Marie Alacoque, sur les fiançailles et les épousailles. Le respect pour nos lecteurs nous interdit de citer les expressions dont s'est servi l'évêque jésuite.
Les soeurs de Marie Alacoque n'avaient pas, à ce qu'il paraît, autant de ferveur qu'on l'eût désiré. Mais la dévotion au Sacré-Coeur suppléait au reste ; aussi, devant cette dévotion, le diable fut-il forcé de déguerpir du couvent, non sans renverser les rideaux et les tringles de la grille du choeur. Il devait au moins commettre une espièglerie, en quittant les lieux.
Le grave historien Languet raconte ces belles choses sans rire. Il nous apprend que le premier vendredi de chaque mois, les douleurs de côté de son héroïne étant fort vives, elle se faisait saigner, comme Jésus le lui avait conseillé. Seulement, il n'a pas réfléchi que les saignées ayant été pratiquées chaque mois, depuis l'apparition en 1674, jusqu'à la mort de Marie Alacoque en 1690, il s'ensuivrait qu'elle aurait été saignée cent quatre-vingt-douze fois en l'honneur du Sacré-Coeur. Si elle n'a pas succombé à un tel traitement, c'est encore par miracle sans doute.
Les jésuites, en donnant une origine céleste à la dévotion au Sacré-Coeur, profitaient de la circonstance pour recommander leurs autres doctrines de prédilection. Autant les bons pères sont rigoureux pour ceux qui n'aiment pas leur Compagnie, autant ils sont débonnaires pour les autres. Si les vertus des premiers ne leur servent point pour le salut, les péchés des seconds ne peuvent leur nuire dès qu'ils ont aimé la pieuse Société. Aussi, Marie Alacoque vit-elle un jour le purgatoire, et fut-elle très heureuse d'y apercevoir une foule d'âmes qui n'avaient sur elles que cette étiquette : Elle n'a pas haï le Seigneur (lisez : la Compagnie de Jésus). S'il suffit de ne pas haïr le Seigneur pour être sauvé, en passant par le purgatoire, il est bien évident qu'il n'y aura de damnés que ceux qui auront haï la sainte Compagnie.
L'Immaculée-Conception devait nécessairement être recommandée par le Sacré-Coeur. Marie Alacoque la faisait entrer dans l'esprit au moyen de petits billets que l'on devait avaler en guise de pilules. Elle écrivait donc à son frère qui était prêtre : « Nous avons promis que vous prendriez les billets que je vous envoie, un, chaque jour, à jeun, et que vous diriez ou que vous feriez dire neuf messes, durant neuf samedis, en l'honneur de l'Immaculée-Conception, et autant de messes de la Passion, pendant neuf vendredis, en l'honneur du Sacré-Coeur. Je crois que nul ne périra de ceux qui lui seront particulièrement consacrés. »
Etc... etc... Je ne vais pas scanner la totalité du texte. Vous avez toutes les références. Cet extrait est largement suffisant pour comprendre la supercherie. Et quand on sait l'importance qu'a réussi à prendre le culte envers le sacré coeur dans le catholicisme romain on peut se poser des questions...
Pour se nourrir spirituellement il y a quand même mieux que ces histoires farfelues de Marie Alacoque ou de stigmates qu'aucun saint authentique n'a jamais "portés". Mais nous sommes hélas toujours obligé de répondre aux attaques incessantes et de combattre la crédulité imbécile que certains voudraient nous présenter comme étant la foi de l'Eglise conforme à la Tradition.
Dernière modification par Antoine le sam. 12 févr. 2005 9:35, modifié 3 fois.
Antoine
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Message par Antoine »

Jonas a écrit :Je ne perçois pas L'Eglise orthodoxe comme l'Eglise indivise du premier millénaire. Mon avis personnel est que l'Eglise indivise du premier millénaire n'est plus et que l'Eglise orthodoxe est en est l'héritière.
Le symbole de Nicée-Constantinople (en 381) énonce: <<Je crois en l'Eglise une, sainte, catholique et apostolique.>>
Il ne dit pas "je crois en l'Eglise orthodoxe héritère de l'Eglise indivise".
Cette Eglise une sainte catholique et apostolique est l'Eglise Orthodoxe, celle là même qui était confessée dans ce symbole au premier millénaire.
"Une" signifie "indivise". Et aujourd'hui il y a toujours cette même Eglise; le siège hétérodoxe de Rome n'en fait plus partie, mais l'Eglise, Elle, reste indivise.

Ou alors Jonas, vous nous expliquerez ce que vous récitez quand vous chantez le credo.
Georges Papathanassios
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Message par Georges Papathanassios »

Comme promis voilà ce que l'on trouve dans le calendrier des écofiens:
Commémoration des saints d'Occident postérieurs au schisme de 1054:

Saint Yves, curé de Tréguier, 19 mai 1303
Sainte Jeanne d'Arc, vierge martyre, 30 mai 1431 (fetée aussi le 8 mai)
Saint Jean-Marie Vianney, curé d'Ars, 4 aout 1859
Saint Louis, roi de France, 25 aout 1270
Saint Vincent de Paul, confesseur, 27 septembre 1660
Sainte Thérèse de Lisieux, moniale, 30 septembre 1897 (fétée le 1er octobre)
Saint François d'Assise, confesseur, 3 octobre 1226 (fété le 4 octobre):

La commission liturgique a décidé d'intégrer ces saints dans notre calendrier, ils sont donc indiqués à la date de leur fête.

Eglise Orthodoxe de France, Calendrier liturgique 2004-2005, Centre Orthodoxe d'Edition et de Diffusion, 96 boulevard Auguste Blanqui, 75013 Paris.

N'est ce pas édifiant sur leur orthodoxie ?
Antoine
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Message par Antoine »

Indépendemment du contenu, ce qui est édifiant c'est qu'ils se soient autorisés à prendre ce genre de décisions qui ne leur incombait pas.
Y a-t-il eu ratification par l'Eglise dont dépendait ce diocèse?
samuel
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Message par samuel »

Je trouve vraiment impardonable que l'Ecof n'ai pas canonisé Sainte Marie Alacoque ! Quel manquement à l'Orthodoxie. Je verrai bien une Paraclisis au Sacré Coeur de Jésus.

Je suis curieux de ne pas y voir St Jean de la Croix, Ste Thérèse d'Avilla...

...a ce rythme pourquoi pas St Ignace de Loyola ?
Antoine
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Message par Antoine »

Vous avez oublié le père Noël...
Glicherie
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Inscription : ven. 18 juin 2004 14:41

Message par Glicherie »

...a non, lui il est parti chez les roumains de Ste Geneviève....
Verrouillé