DECLARATION DU METROPOLITE VITALY SUR SON ENLEVEMENT

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crevieauxp
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DECLARATION DU METROPOLITE VITALY SUR SON ENLEVEMENT

Message par crevieauxp »

DECLARATION

Le 22 novembre 2001 vers 8h45 du matin, alors que je me trouvais dans mon ermitage de la Sainte Transfiguration, situé au 83, rue du Monastère, à Mansonville (Province du Québec, Canada), attablé avec des clercs et laïques, un groupe de personnes a fait irruption dans le réfectoire. Ces gens n’étaient ni invités, ni annoncés. Ils ont forcé l’entrée qui leur a été refusée. Ils ont frappé sauvagement et poussé la porte, contre la résistance opposée de l’intérieur. Ils ont arraché au passage la serrure de la porte extérieure. Ils ne se sont pas souciés de s’annoncer, de frapper à la porte de façon civilisée ou de demander la permission d’entrer. Ils ont violé le domicile, outragé l’intimité de la résidence, dérangé l’ordre monacal. Ils ont à plusieurs reprises intimidé, menacé, brutalisé et insulté les personnes présentes.

A la tête des assaillants se trouvaient l’Evêque Michel (Siméon Donskoff, ci-dessous « Donskoff ») et le prêtre Pablo Ivaszewicz (ci-dessous « Ivasczewicz »), tous deux de nationalité étrangère, assistés des avocats Michel Taillefer (ci-dessous « Taillefer ») et Stephan Trihey, à leur tour assistés d’un nombre important d’hommes de main. Aussi bien les avocats que leurs hommes de main n’ont pas pris la peine de se présenter. Interrogés, ils ont refuser de s’identifier ou même de répondre, encore moins de préciser le but de leur visite. L’un ou l’autre a été reconnu par les personnes présentes qui avaient assisté à l’une ou l’autre des agressions disgracieuses qui ont précédé. D’autres ont été identifiées par recoupements, certains d’entre eux ayant pris part à des agressions et enlèvements (relatés ailleurs) auparavant.

Les intrus se sont donnés l’apparence d’agents de l’ordre : ils ont menacé d’arrestation immédiate quiconque donnait le moindre signe de contestation. Ils ont exigé que personne ne bouge. Ils ont à plusieurs reprises coupé le téléphone. Ils ont contrôlé l’utilisation du fax que ce soit pour transmettre des documents ou pour faire des copies. Les avocats sont allés jusqu’à prétendre être de la police.

A la question de savoir s’ils avaient un mandat, ils ont répondu par l’affirmative, tout en refusant de montrer le mandat ou de révéler qui était le mandant. Ils ne nous ont montré aucun document et nous n’avons vu aucun document de leur part.

Taillefer, accompagné, sans demander la permission, a d’abord effectué une véritable perquisition, y compris à l’étage où allait avoir lieu la suite de leur manœuvre. Illégale et abusive, cette perquisition a consisté en la visite de toutes les pièces, sans aucune autorisation ou explication, sans la moindre précaution. Au moins les objets suivants ont été confisqués, sans signification préalable, sans reçu, sans égard à qui était leur propriétaires (clefs de la voiture, enregistrements de la voiture, mon passeport, ma carte d’assurance maladie et des documents en liasse, dont un testament, pas encore entièrement identifiés). Mon bureau a été fouillé, de même les autres meubles de ma chambre. On fit de même dans le secrétariat et la salle d’audience.
Taillefer a pris personnellement le soin d’ouvrir et laisser couler tous les robinets de la salle de bain, pour amplifier le bruit de fond – bruit qui devrait couvrir les exactions qui allaient suivre.

Donskoff fit son entrée, elle aussi totalement indésirée (eu égard des autres exactions dont il s’est rendu coupable précédemment) et déclarée telle par tous les assistants.

Sans prêter aucune attention aux remarques qu’on lui fit, Donskoff s’approcha de moi. L’ayant reconnu, je lui répétai l’opprobre ecclésial (l’anathème) que je lui avais déjà communiqué à plusieurs reprises, verbalement et par un écrit motivé (auquel il n’a jamais daigné répondre).Je lui ai fait clairement savoir que je n’avais aucune intention de converser avec lui. Sur sa représentation mensongère selon laquelle « on ne me laisserait pas parler avec lui », j’ai accepté de lui parler, dans l’espoir de le raisonner in extremis. J’ignorais que cette prétendue discussion n’était qu’un guet-apens.

C’est ainsi que je montai au premier étage, non sans être censuré dans mes mouvements par l’avocat Taillefer. Un de mes compagnons qui s’était mis à filmer les actes des intrus se fit interpeller et menacer par Taillefer et par Ivaszewicz. Sa caméra lui fut détruite, un acte sauvage et violent, signifiant une appropriation et un abus du bien et du droit d’autrui. Cependant la cassette vidéo survécut et témoigne des faits qui précèdent. Je la certifie exacte et la joins en annexe à la présente déposition.

Mes agresseurs entamèrent alors une courte discussion. Leur discours ne s’attarda point sur mes objections ; il n’était que le prélude de leur action suivante. Ils firent tôt de renfermer dans la chambre voisine, sous garde, ceux de mes compagnons qui étaient parvenus à monter à l’étage, tandis que l’escalier fut bloqué et mis sous la garde d’un autre homme de main. Cette séquestration en bonne et due forme a été relatée avec force détails par ceux qui l’ont vécue.

Ils confisquèrent de force mon portefeuille, contenant différents personnels et de l’argent – ils ne me le rendirent que plus tard, suite à l’intervention de la Sûreté du Québec. Ils prirent également les clés de ma voiture, que je ne pus récupérer qu’une semaine plus tard, et ce par l’intermédiaire d’une autre personne (Alexandre Ivaszewicz).

Sans plus s’embarrasser du prétexte de « me parler », Donskoff et Ivaszewicz sautèrent sur moi et commencèrent à m’habiller de force, dans le but évident de me sortir et de m’enlever. J’opposai toute la résistance que je pus. Ils me couchèrent par terre pour mieux pouvoir m’enfiler le manteau d’Ivaszewicz. Je me débattis, mais les hommes de main assistèrent les deux prélats parjures. Je tentai de crier, mais un d’édredon blanc et bleu – que Taillefer apporta expressément de sa voiture et monta à l’étage - il m’étouffa.

La violence physique et les menaces atteignirent leur paroxysme lorsque l’un de mes compagnons, qui venait de recevoir des instructions de mes
avocats, se risqua de nous approcher. Il cria à Taillefer que mes avocats (mis entre-temps au courant par téléphone et par fax), annonçaient leur présence devant le Juge en Chambre qui exigeait de cesser toute action et de ma relâcher. Alors mes assaillants tinrent à m’emmener sur-le-champs. C’est ce qu’ils firent. Menaçants(ils se faisaient passer pour des agents de l’ordre public, dûment autorisés) et violents, ils me brusquèrent, ils forcèrent ma descente dans l’escalier.

Dans le réfectoire j’aperçus et croisai les regards horrifiés et impuissants de mes intimes amis et compagnons. Alors je protestai contre l’enlèvement à destination de New York, j’invoquai ma liberté de citoyen canadien, à photographier la scène. Et c’est ce qui fut fait : des photos ont été prises à partir de ce moment et jusqu’à l’entrée dans la limousine. Je certifie la véracité de ces photos et je les joins en annexe à la présente déposition.

On assista alors à de nouvelles intimidations à l’encontre de ceux qui manifestaient leur désapprobation, qui mettaient en doute la légalité de l’opération ou qui essayaient de me protéger. Nonobstant cela, Donskoff, Taillefer, Ivaszewicz et leurs hommes de main me traînèrent de force, avec une brutalité inouïe, en direction de la porte de sortie. Ce faisant, ils m’empêchèrent de crier – Taillefer avec l’édredon susmentionné et Donskoff avec un autre coussin , petit et âpre, sans taie. Tout en m’empoignant, me poussant et me tirant, ils me frappèrent carrément : Donskoff de derrière me frappa au visage à travers le cousin, Ivaszewicz m’empoignant par la hanche droite pour m’empêcher d’échapper à Donskoff en me tortillant pour retirer ma tête du coussin, Taillefer, au poing, dans la poitrine, à travers l’édredon. Je m’effondrai. Tallefer, Donskoff et quelques-uns de leurs hommes de main m’arrachèrent à ceux qui tentèrent de m’empêcher de tomber à terre et de me protéger. Je fus traîné, poussé et frappé dans tous les sens jusqu’à la porte du réfectoire donnant sur la cour vers le parking.

Consterné par l’agressivité de Donskoff, je lui réitérai ma sanction ecclésiale.

De la porte du réfectoire je fus traîné jusqu’aux voitures des ravisseurs. Sur le parcours, ceux-ci me firent tomber à terre plusieurs fois, me soulevèrent par les jambes, la tête en bas, me frappèrent pour m’inviter à avancer, m’emportèrent comme on traîne un objet.

Arrivés à la limousine qui devait m’emporter – immense voiture automobile, noire et aux vitres opaques, pourquoi opaques ? – ils y forcèrent mon entrée. Par deux fois je me tordis pour m’opposer ou tout au moins pour retarder l’enlèvement. Des coups à la tête et aux reins me firent plier, mais je me tordis encore. Finalement Donskoff, entré dans la voiture par la porte opposée, me tira avec force de l’intérieur. La porte se ferma sur moi.

On me retint de force dans cette voiture – verrouillée – pendant plusieurs
Heures, contre ma volonté, dans la compagnie indésirable et disgracieuse de Donskoff et d’Ivaszewicz, pendant que Taillefer parlementait au téléphone à l’extérieur. La voiture démarra mais s’arrêta nez à nez avec la voiture e police qui arriva. Ce n’est que tardivement que mes compagnons obtinrent le droit qu’un policier fût admis à l’intérieur de la limousine afin de me protéger.

Ce n’est que sur l’insistance de mes compagnons qu’on me permit de boire une verre d’eau (un premier verre d’eau qui m’avait été apporté fut renversé furieusement par Taillefer). Mes ravisseurs ne consentirent pas que la vitre teintée soit rabaissée pour avoir de l’air, sauf tardivement et sur l’intervention de l’agent de la Sûreté du Québec. Cette ouverture était limitée à environ un demi pouce et seulement du côté du chauffeur, selon les ordres de Taillefer et Trihey. Plus tard seulement cette liberté fut étendue à ma « cabine », ce qui me valut enfin plus de calme de Donskoff et d’Ivaszewicz.

Taillefer, Trihey et ces derniers ne consentirent que bien tardivement, après maintes négociations, et sur intervention de la Sûreté du Québec, à ce que j’aille à la toilette, et encore sous surveillance ! Enfin c’est toujours à la Sûreté du Québec que je dois d’avoir été finalement délivré de la compagnie de Donskoff, transféré dans une autre voiture de son escadrille. Le même scénario se répéta quand il s’agit de me laisser déjeuner : il fallut que deux policiers m’escortassent pour calmer le désir haineux de Taillefer et de Donskoff de me garder à tout prix enfermé dans leur limousine.

Pendant leurs exactions, Me Taillefer et son confrère firent de nombreuses fausses représentations en ce qui me concerne. Ils prétendirent que je suis américain et que j’habite New York, qu’Ivaszewicz serait mon curateur (« guardian »), ,etc. Je nie bien entendu ces allégations mensongères.

Enfin, après de longues heures nous fûmes débarrassés des intrus par la Sûreté du Québec, en attendant l’ordre du Juge . Cependant malgré l’avis que leur avait donné la Sûreté du Québec de se tenir à une certaine distance de l’ermitage, ils nous importunèrent et nous harcelèrent jusque tard dans la nuit et encore le lendemain, par plusieurs apparitions illégales, que nous avons chaque fois signalé à la Sûreté. Aussi, un groupe d’agresseurs se cachait la nui du 22 au 23 novembre 2001 dans une voiture sur notre propriété dans l’allée de notre cimetière attenant à l’ermitage dans lequel nous nous trouvions. Ils furent débusqués vers 2h00 de la nuit par une patrouille de gardes frontières de la Gendarmerie Royale du Canada.

J’ajoute que mes agresseurs étaient également munis d’une seringue dont la destination est des plus suspectes.

J’attire l’attention sur les faits que les agresseurs ont prémédité leurs actes, s’y sont entraînés, ont passé la nuit précédente à proximité. Une préparation et organisation minutieuse ont soutenu leurs actions. Les moyens financiers, humains et matériels, mis en branle pour réaliser cette opération sont incompatibles avec les budgets de notre église. Leurs avocats n’ont pas hésité de contrevenir aux règles de leur code d’éthique. Les moyens musclés, extra-légaux, ne correspondent pas à la civilité des membres de mon église ; ils se rapprochent des univers que mon église a fui.

Je porte plainte à la fois contre mes agresseurs directs susmentionnées, contre leurs complices et contre leurs éventuels commanditaires, que ce soit par voie de mandat (verbal ou écrits) ou de support financier (direct ou indirect).

Je n’exclus pas (et dans ce cas je porte plainte également contre le fait) que pour couvrir les coûts de l’opération mes agresseurs aient utilisé mes propres fonds !

Je précise que de nombreux témoins ont assisté aux exactions du 22 novembre 2001. Je ne cite ici, provisoirement, que quelques-uns d’entre eux : Monseigneur Bartolomé Vorobev, Monseigneur Serge Kindjakov, Monseigneur Vladimir Tselishev, le Révérend Père Serge Petrov, le lecteur (ingénieur) Serge Agou, l’ingénieur Pierre Paganuzzi, l’ingénieur-architecte Aldea Sturza, Messieurs les séminaristes Ivan Birr et Justin Mc Donnell.

A ces témoins s’ajoutent les membres de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie Royale du Canada, que je tiens à remercier pour leur intervention efficace et humaine.

Je certifie que cette déposition est exacte.

Fait à Mansonville, le [10/]23 février 2002

Métropolite Vitaly Oustinov

(la déclaration se termine par la reconnaissance et la certification de l’authentique signature de Monseigneur Vitaly, devant témoin)
GIORGOS
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Message par GIORGOS »

+
Mon frère,
J'ai lu avec le plus grand intêret ce que vous aviez publié dans le Forum sur Vl. Vitaly, ainsi qu'un un texte apparemment de lui.
J'ai sur celui-ci une doute.
La déposition du Vl. Vitaly est elle de la main du prélat? Pour être plus clair,s'agit il d'un documment manuscrit, c-à-d, écrit á la main?
Ou s'agit d'un documment tappé à la machine et uniquément signé par le Métropolite?
Ou s'agit, enfin, d'une déclaration faite en présence du juge cannadien et testifié par des témoins crédibles?
Ou, horresco referens, s'agit simplemment d'un papier signé par le vénerable prélat dans l'intimité de sa célulle et presenté face àu Juge par ses avocats?
Comme vous pouvez aisement le comprendre, ce n'est pas la même chose, parce que nous ne pouvons savoir si les paroles exactes sont elles du Métropolite ou non. Il-y-a dans le vocabulaire certains expressions étranges, inéxactitudes ou confussions.
De plus il-y-a dans tout cet affaire autres rides de mystère, autant dans la conduite du Métropolitain que de ses eventuel compagnons.
Merci de vos informations.
Dans le Christ,
Giorgos
Giorgos
SEÑOR JESUCRISTO, HIJO DE DIOS, TEN PIEDAD DE MÍ PECADOR.
crevieauxp
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Inscription : sam. 10 juil. 2004 19:46

Message par crevieauxp »

Il s'agit d'un document dactylographié, signé devant notaire par le
Métropolite Vitaly, signé ensuite par le notaire avec son cachet. Au Canada, le notaire relit l'ensemble du document devant le signatiare et s'assure que celui-ci approuve phrase par phrase ce qui est écrit - ce n'est pas simplement la certification d'une signature, comme ça peut se faire dans d'autres pays.

Le Métropolite, avec ses 90 ans passés, ne dactylographie pas lui-même, il
est donc indéniable que d'autres personnes ont participé à la rédaction. Il
s'agit exclusivement de personnes qui étaient présentes sur les lieux et qui partageaient la consternation et le scandale du Métropolite. Le Métropolite a ré-écouté avec une attention vigilente la relecture par le notaire et a approuvé mot par mot, non sans ajouter - pour le bénéfice du notaire - des explications orales et de significatives mimiques.

Le choix des mots est volontairement précis et vise une mise au point sur le plan judiciaire. Il faut savoir que l'enlèvement a été opéré avec une
prétendue base juridique - frauduleuse - et que le prétendu "jugement" dont les ravisseurs se prévalaient, à savoir une "homologation" forgée d'un jugement américain, a été cassé, le lendemain du kidnapping, à la Cour d'Appel (Montréal, Québec).

Je tiens à votre disposition une photocopie de l'original en garde chez le
notaire, avec les signatures et le sceau mentionnés ci-dessus ; mais
également le jugement de la Cour d'Appel, qui est du domaine public, repris d'ailleurs par un jugement américain subséquent.

Des traductions anglaise et russe sont disponibles sur internet, de même que le récit de l'internement psychiatrique forcé et du résultat de celui-ci.

Plusieurs personnes présentes ont également fait des déclarations similaires, toutes concordantes. Certaines des personnes présentes, dont des prêtres, ont également certifié la véracité de la déclaration de Mgr Vitaly sous cette forme officielle.

A vous de m'éclairer sur ce que vous appelez des "expressions étranges,
inexactitudes ou confusions" ; il n'y a, à ma connaissance, strictement
aucune confusion, inexactitude, ou étrangeté.

Qu'entendez-vous par "rides de mystère, autant dans la conduite du
Métropolitain que de ses éventuel compagnons" ? Toutes les personnes
présentes ont réagi avec une commune désapprobation et elles sont unanimes à condamner de toute leur force les actes commis.

Si vous avez le moindre doute, ou si vous recherchez des explications ou des détails, rien n'est plus indiqué que de vous mettre en contact avec les
témoins eux-mêmes, sous réserve des procès qui sont en cours. Parmi les
témoins se trouvait également un séminariste qui venait d'Australie, et que vous pouvez donc interroger directement.

Le nombre de témoins est si élevé, qu'il ne saurait y avoir de problème,
pour toute personne soucieuse de vérifier le récit. Le court film et les
photos, également publiées sur internet, le confirment à 100%.

Si vous avez le moindre doute ou observation, n'hésitez pas de nous en faire part ; nous connaissons personnellement (ou sommes proches des) personnes présentes, et satisferons volontiers votre curiosité.

Si vous préférez vous entretenir avec des fidèles d'origine grecque, proche du Métropolite, nous pouvons vous mettre en contact avec eux.

Il est seulement vrai que les exactions commises contre le Primat de
l'EORHF, dans le but évident d'annihiler celle-ci, peuvent paraître
invraisemblables, tant elles s'apparentent au domaine du livresque, et à un temps qu'on croyait depuis longtemps révolu.
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