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Publié : mer. 09 mai 2007 10:24
par Glicherie
Dans la série, sur le site dans la rubrique "journal JOIE" on voit une photo non datée de célébration à St Irénée, avec Mgr Adrian, du Patriarcat Roumain, et Germain.
Remarques:
-Germain est en ornements orientaux (orthodoxes)
-il était à l'époque (avant 93) canonique, puisque pas encore déposé
-la production de cette photo non datée laisse à penser que Germain serait toujours évêque, et toujours en communion avec l'Eglise Orthodoxe via la Roumanie, ce qui est faux.
-Pourquoi cette obstination ambigue de vouloir prouver qu'une "orthodoxie gauloise" existe indépendament des Eglises Orthodoxes qualifiées "d'orientales" par les écofiens, tout en faisant grand étalage des photos où l'on voit les "hiérarques" de l'Ecof dans un contexte de célébration "oriental" avec de vrais hiérarques de l'ERHF, l'EOR...???
Est ce là une persistance inconsciente de la nécessité d'un lien canonique ?

Publié : mar. 22 mai 2007 17:16
par hilaire
c'est plutôt la persistance consciente d'une escroquerie !

Publié : mar. 29 mai 2007 16:08
par hilaire
pour faire plaisir à Glicherie, toujours sur le sité écofien :

Assemblée régionale du Sud-Ouest (c'est quoi ça?)
samedi 28 et dimanche 29 avril 2007

Vous êtes invités à participer à l'Assemblée régionale, dans la commune de Fargues Saint-Hilaire, au domaine de la Frayse, près de Bordeaux.
Un thème général destiné à vérifier notre communion d'Eglise:

"L'art et le sacrement de la pénitence et le pardon" le titre est bizarrement formulé je trouve : art de la pénitence? sacrement de la pénitence?... art et sacrement ? et le pardon par dessus...

La pénitence (metanoïa en grec) a au moins trois sens :

- un sens psychologique = le changement ou le repentir
- un sens pragmatique = la fin des illusions
- un sens théologique = le retournement de l'esprit ou retourner les valeurs vers Dieu


exactement, littéralement, tout ce que ne mettent pas en application nos chers amis de l'ECOF, car appliquée à leur situation, la métanoia entraînerait immanquablement à la disparition de ce qui est devenu, c'est triste à dire, une verrue dans le paysage orthodoxe français (la mariée était belle pourtant, mais elle a mal vieilli!)

Publié : mar. 19 juin 2007 15:15
par Glicherie
Surprise de taille:

Le samedi 30 juin, à la "4 eme journée Eugraph Kovalevsky", parmis l'ex-éveque Germain, Monsieur Var et d'autres conférenciers, on trouve l'Archimandrite Grigorios Papathomas!!!:

10 h 15 :Professeur Archimandrite Grégoire Papathomas : De l’église aux églises, au temps actuel.

Serait il devenu professeur dans le pseudo-institut Saint Denys ?
Aurait-il sympathisé ou rejoint le groupe de la rue Blanqui ?
Ou plus raisonnablement essayera t'il de leur parler de l'ecclésiologie canonique et de leur situation hors de l'Eglise ?

Quelqu'un a t'il des précisions sur cette étonnante participation ?

Publié : mer. 20 juin 2007 12:36
par Claude le Liseur
Glicherie a écrit :Surprise de taille:

Le samedi 30 juin, à la "4 eme journée Eugraph Kovalevsky", parmis l'ex-éveque Germain, Monsieur Var et d'autres conférenciers, on trouve l'Archimandrite Grigorios Papathomas!!!:

10 h 15 :Professeur Archimandrite Grégoire Papathomas : De l’église aux églises, au temps actuel.

Serait il devenu professeur dans le pseudo-institut Saint Denys ?
Aurait-il sympathisé ou rejoint le groupe de la rue Blanqui ?
Ou plus raisonnablement essayera t'il de leur parler de l'ecclésiologie canonique et de leur situation hors de l'Eglise ?

Quelqu'un a t'il des précisions sur cette étonnante participation ?
Mon cher Glicherie,

Je ne partage pas votre inquiétude.

Le fait qu'un canoniste réputé comme Mgr Grégoire (Papathomas) participe à un colloque organisé par l'ECOF ne revient pas, en mon sens, à légitimer l'ECOF.

En revanche, j'estime que lorsqu'une paroisse orthodoxe canonique envoie officiellement des invitations à une liturgie solennelle pour le Dimanche des Ancêtres en indiquant que le choeur d'une paroisse "évangélique" (il est vrai de même origine ethnique, ce qui justifie sans doute tout...) chantera in corpore à cette occasion, il y a une certaine forme de légitimation du protestantisme.

Ceci me paraît plus alarmant que cela.

Publié : mer. 20 juin 2007 15:50
par Glicherie
Mon cher Claude,

Vous avez raison, la participation de chantres protestants dans une liturgie est une faute bien alarmante.

Cela étant, je suis inquiet pour cette participation de Père Archimandrite Grigorios, non pas par manque de confiance dans son discernement, mais bien plus par l'instrumentalisation qui sera immanquablement faite de sa présence par l'Ecof.
Vous savez "mais si, vous voyez que nous sommes bien valable, les vrais orthodoxes orientaux viennent nous voir, ce n'est qu'une situation politique..."ce genre de propos qui a égaré et fait souffrir tant de personnes sincères.

Publié : lun. 09 juil. 2007 11:12
par Glicherie
Au final, l'Archimandrite Grigorios Papathomas a refusé de participer au "colloque" organisé par l'ECOF.
Tant pis pour les membres de ce groupe, qui auraient eu l'occasion d'entendre enfin un véritable cours d'ecclésiologie.
Mais au moins la personne du père archimandrite ne sera pas instrumentalisée pour valoir "reconnaissance canonique"...

Publié : dim. 26 août 2007 17:59
par hilaire
Bonjour,

à en croire une photo du site de l'ECOF, Bertrand Hardy était à Buenos Aires cet été... je croyais que l'ECOF n'était plus implantée en Argentine si je me souviens une intervention de Gorgios sur ce fil...

quelqu'un en sait un peu plus?

Publié : dim. 26 août 2007 23:19
par GIORGOS
Hilaire ècrit:
à en croire une photo du site de l'ECOF, Bertrand Hardy était à Buenos Aires cet été... je croyais que l'ECOF n'était plus implantée en Argentine si je me souviens une intervention de Gorgios sur ce fil...
quelqu'un en sait un peu plus?
A ce que je m’ai appris, les derniers morceaux de l’Ecof dans l’Argentine après d’avoir été forcées a abandonner s’ancienne demeure, une vieille maison où fonctionne la paroisse St. Martin de Tours (aujourd’hui «ukrainienne » sous Constantinople), ils ont trouvé un autre réfugie, dans un appartement du seizième étage dans la rue Arenales 3837, 6ª « A » Cité de Buenos Aires.

Ainsi le Vicariat Argentin (« saint » ?) EUGRAPH KOVALEVSKY (paroisse) à pour Recteur M. Alejandro IGLESIAS ROSSI, musicien, lequel à pour demeure le même appartement. Le Lic. Iglesias Rossi, que dit être iconographe est un spécialiste dans les musiques d’origine indigène.
Au même temps dans la « paroisse » fonctionne le Instituto Argentino-Francës de Eutonia (Je ne crois pas qu’il faut traduire), lequel à pour directrice a la Lic. Susana Ferreres.
Les Licenciés Iglesias Rossi et Ferreres sont les deux le président et la vice-présidente de l’Institut de recherche et création dans les arts traditionnels et d’avant-gardes ( IDECREA) de l’Université de Tres de Febrero, où ils préconisent une mélange de l’iconographie " traditionnel" avec les représentations indigènes, (ici je dois reconnaître que j’avais été alerté par un des membres du Forum, mais que j’avais été incapable à l’époque de le vérifier).... Pardon, JL...
Par ailleurs ils sont deux des trois représentants argentins à l’International Association of Music Libraries, Archives and Documentation Centres
Devinez qui est le troisième ?
Mais oui !:
Mme. Clara Goetmann (née Cortazar Sabor), avec laquelle ils ont plusieurs fils à la patte…

(A suivre, peut être…)

Publié : dim. 26 août 2007 23:25
par hilaire
ils me surprendront toujours ces écofiens... merci en tout cas pour ces précisions

Publié : lun. 04 févr. 2008 21:40
par Anthony76
Bonsoir à tous,

J'ai lu en partie les précédents développements sur l'Eglise catholique orthodoxe de France. Toutefois, est-ce que quelqu'un pourrait me résumer en quelques points les "reproches" qui sont faits à cette Eglise ?

Après ma lecture, il ressort surtout que l'évêque ne semble pas respecter les canons relatifs à sa désignation.

Autre question : la notion d'église locale est incompatible avec l'orthodoxie ?

Merci d'avance.

Publié : mar. 05 févr. 2008 14:31
par Claude le Liseur
Anthony76 a écrit :Bonsoir à tous,

J'ai lu en partie les précédents développements sur l'Eglise catholique orthodoxe de France. Toutefois, est-ce que quelqu'un pourrait me résumer en quelques points les "reproches" qui sont faits à cette Eglise ?

Après ma lecture, il ressort surtout que l'évêque ne semble pas respecter les canons relatifs à sa désignation.

(...)
Bonne question. Et il est très difficile d'y répondre.
Il y a d'une part les reproches imaginaires qui relèvent de la xénophobie / francophobie des différentes Eglises locales orthodoxes sous la protection desquelles l'ECOF s'est trouvée, étant précisé que l'ECOF n'a jamais réussi à se faire accepter par l'une ou l'autre des Eglises locales où ce problème se serait moins posé qu'ailleurs (toutes les tentatives faites dans les années 1950 pour passer sous la juridiction directe de Constantinople ont échoué). Dans ce domaine-là, nous sommes habitués à l'application du principe "qui veut noyer son chien l'accuse de la rage".

Il y a d'autre part les reproches réels. Et ceux-ci sont nombreux. Ils seront naturellement contestés par les partisans de l'ECOF, et il n'y a aucun intérêt à entrer dans une polémique. Disons simplement que l'on retrouve à peu près les mêmes reproches partout depuis soixante ans. Il serait d'ailleurs curieux, si l'ECOF était vraiment exempte de toute faute, que l'on retrouve les mêmes reproches partout où l'ECOF a trouvé asile à un moment ou à un autre. Citons pêle-mêle:
- les liens inextricables avec la franc-maçonnerie;
- l'influence de certains milieux ésotéristes que l'on qualifierait aujourd'hui de New Age;
- l'absence d'orthodoxie de certains enseignements ou de certaines pratiques / la contamination par d'autres confessions ou d'autres religions que le christianisme orthodoxe;
- le laxisme en matière disciplinaire;
- l'incapacité dans laquelle l'ECOF semble toujours avoir été de se définir elle-même. Ainsi, au moment du passage de l'ECOF dans la juridiction du patriarcat de Roumanie, il avait paraît-il été précisé que l'ECOF devait se rebaptiser "êvéché catholique orthodoxe de France" en tant que diocèse au sein du patriarcat de Roumanie, diocèse dont la juridiction aurait été limitée à la France. Or, très vite, l'ECOF est réapparue en tant qu' "Eglise" et non plus seulement "évêché" et a commencé à accepter des paroisses hors de France. Dans le cas de la Belgique, de la Suisse ou de l'Allemagne, cela pouvait encore se justifier par des raisons linguistiques et ethniques évidentes - ne sautons pas au plafond si nous utilisons le mot "ethnique"; beaucoup des contempteurs de l'ECOF ne fonctionnent eux-même que selon des critères non pas nationalistes, mais tribaux, alors... -, et je ne vois pas très bien à quelle autre juridiction un homme comme le RP Gabriel Bultmann aurait pu se rattacher dans les années 1970. Mais l'ECOF a aussi commené à recevoir des paroisses dans des pays où rien, ni dans la langue, ni dans la culture, ni dans l'Histoire, ni dans la géographie, ne justifiait un tel rattachement (exemple: les Etats-Unis, l'Argentine). Le fait que beaucoup de Basques et de Béarnais aient émigré en Argentine et que certains aient continué à y cultiver jusqu'à nos jours la langue française (plus que l'euskara ou le gascon, d'ailleurs) ne crée pas pour autant les mêmes liens avec la France que ceux que celle-ci peut avoir avec les pays qui lui sont limitrophes!
- la prétention d'être le seul embryon d'une Eglise orthodoxe locale en Europe occidentale, les autres diocèses n'étant que des diocèses "orientaux" présents en Europe occidentale, alors qu'il paraît évident qu'une telle Eglise ne se construit que par osmose entre les émigrés russes, grecs, etc., et leurs descendants d'une part, et les autochtones qui font le choix de retourner à l'Orthodoxie d'autre part;
- l'influence du modernisme importé de certains cercles de Saint-Pétersbourg avant la Révolution russe;
- le problème posé par l'attachement exclusif de l'ECOF au rit dit "des Gaules" ou "de saint Germain de Paris", qui est un essai louable de reconstitution de l'ancien rit de nos contrées, mais qui n'est pas pour autant ce rit lui-même, car le pouvoir carolingien a fait disparaître tous les manuscrits de ce rit quand il a imposé, à la fin du VIIIe siècle, le passage à un rit prétendument romain; le rit byzantin a au moins l'avantage d'une pratique ininterrompue et de ne pas être une reconstitution.

Naturellement, tous ces griefs, qui méritaient en effet discussion et posaient de réels problèmes, ont été amplifiés et déformés dans des proportions que nous ne connaissons pas vraiment par la francophobie de certains ecclésiastiques orthodoxes étrangers, par le phylétisme / tribalisme de certains immigrés, par l'idéologie oecuméniste, par la recherche de bonnes relations diplomatiques avec le Vatican, lequel voit toujours d'un très mauvais oeil que des Latins ou des Germains se rappellent qu'un autre christianisme a existé avant lui et que ce christianisme des origines reste encore aujourd'hui bien implanté dans une douzaine de pays, et enfin par l'évolution politique de certains Etats où les liens entre l'épiscopat et le pouvoir politique sont restés forts.

Publié : mer. 06 févr. 2008 11:36
par Glicherie
Je crois que désormais, les informations les plus complètes peuvent être trouvées sur l'Ecof. Notamment sur ce forum, dans le fil adéquate, où l'on peut les confronter avec des témoignages d'anciens de l'Ecof.
Cela dit, comme aimait à le rappeler notre ami Jean-Louis Palierne, de bienheureuse mémoire, ce que nous avons écrit a été parfois "autocensuré", pour préserver certaines personnes et parce que tout n'est pas bon à dire.

Le constat aujourd'hui est que l'Ecof n'a plus d'évêque, celui-ci ayant été déposé par le Saint Synode Roumain suite à ses erreurs doctrinales, et disciplinaires comme son mariage, par exemple.
L'Ecof n'est donc plus canonique ni reconnue par l'Eglise Orthodoxe.
Les membres de l'Ecof qui y ont été reçus après 93 (date de la rupture avec la Roumanie) et qui rejoignent l'Eglise Orthodoxe doivent recevoir a nouveau les Mystères (chrismation ou baptème, ordre...).

Claude a bien synthétisé l'histoire de ce mouvement.
Il faut reconnaitre les apports positifs: les traductions liturgiques, des adaptations de chants, et l'essentiel du clergé français orthodoxe d'aujourd'hui.

Re:

Publié : mar. 22 juin 2010 9:55
par Aline-Cassienne
Monique a écrit :Cher Jean-Louis,
Je ne sais pas d’où vient l’hymne « l’aurore de clarté rutile », je pense que c’est une traduction d’un hymne latin ; il est chanté tous les dimanches en paroisse, et s’il nous a bien fait rire (j’ai fait partie d’une paroisse de l’ECOF où on avait beaucoup d’humour), il ne nous a jamais aidé à prier.
Et quand j’ai découvert l’hymne de la résurrection orthodoxe, j’ai eu l’impression qu’on nous avait donné de la piquette alors que le bon vin existait et était connu des dirigeants.
Cette hymne est une traduction absolument déplorable d'une hymne latine "Aurora lucis rutilat", prévue encore aujourd'hui dans l'ordo catholique romain en rite latin pour les dimanches du temps pascal. L'hymnaire de Solesmes la date du Ve siècle avec un point d'interrogation. La fraternité sacerdotale St-Martin a édité en 2008 le bréviaire catholique romain selon la réforme de Vatican II, en latin-français, avec hymnes latines traditionnelle (ils ont été généreusement appuyés par Solesmes et d'autres communautés ayant conservé le grégorien). Voici leur traduction :
L'aurore éclate de lumière : / le ciel résonne de louanges, / le monde exulte d'allégresse, / l'Enfer gémit et se lamente.
Car notre Roi si valeureux / a brisé les forces de mort. / Foulant de son pied les enfers, / Il libère les malheureux.
Lui, que les soldats vigilants / gardaient enfermé sous la pierre, / Il triomphe en noble cortège / et surgit vainqueur du trépas.
Il a mis fin dans les enfers / à toutes plaintes et douleurs. / L'ange resplendissant proclame / la résurrection du Seigneur.
Demeure, ô Jésus, pour les âmes / la joie pascale à tout jamais. / à la grâce nous renaissons; / dans ton triomphe, entraîne-nous.
A toi, Jésus, soit la la louange, / glorieux vainqueur de la mort; / Louange ou Père et à l'Esprit, / à travers les siècles sans fin ! Amen.

Quand je découvre les textes des hymnes latines que j'ai priées pendant 10 ans (dont beaucoup viennent de Saint Ambroise de Milan), récupérés par le rite écofien, c'est moi qui pleure et me lamente : traductions épouvantables, chantés sur des décalques de grégoriens qui me donnent de l'urticaire tellement c'est artificiel. Le grégorien est une musique
magnifique qui me porte à la prière, mais reporté sur le français, c'est catastrophique... Et il faudrait trouver ça fantastique parce que ça vient de Kovalevski. J'ai vraiment du mal, de plus en plus... Par contre les "psaumes ecclésiastiques" et les tropaires finaux harmonisés par le même compositeurs sont splendides. C'est vraiment étrange.

Re: Ecof

Publié : mar. 17 avr. 2018 9:36
par Glicheur
Bonjour à tous.

Après une longue absence, nous sommes de retour ici avec mon épouse, toujours fidèles au sein de la Métropole Orthodoxe Grecque (Georges Bizet).

Je profite de cette occasion pour donner quelques nouvelles du bateau ivre qu'est l'ECOF, puisque nous avons accueilli et écouté récemment plusieurs membres en partance de cette pseudo-église (dont un clerc majeur): ma femme et moi en effet avions connu l'ECOF dans les années 80 et y avons passé presque 20 ans avant de découvrir la vraie Orthodoxie. Nous sommes donc sensibles au sort des personnes qui tombent dans ce groupement plus proche de la secte que de l'Eglise Orthodoxe.

Ce que nous avons entendu est édifiant: la secte ne compte plus dans toute la france qu'une centaine de membres, et son gourou Gilles Bertrand-Hardy, l'ancien évêque Germain déposé en 1993 suite à son affaire de mariage, s'affiche désormais publiquement avec sa nouvelle maitresse, la veuve de l'un de ses anciens prêtres.

L'ECOF s'organise maintenant en diocèses, car l'ancien vicaire le père Jean Guillaut a été "sacré" évêque, nous ne savons pas comment cela a été possible. Un évêque russe transfuge s'est prêté à cette mascarade de sacre, avec l'évêque déposé.

La question est donc toujours la même: que devons nous faire vis-à-vis de cette communauté, et comment accueillerons nous les fidèles perdus de l'ECOF à la mort de gilles hardy (qui doit avoir au moins 90 ans maintenant).

Priez pour eux.

Jean Marc