MEDJUGORJE et autres lieux

[J-Gabriel]

Cher sabeth je vous taquinais tout à l’heure au message du Sam 27 Mars 2010 15:58, car vous aviez dit que « ce soir… je vais aller assister à une Divine Liturgie », alors je pensais que vous confondiez avec un autre office –vêpres, par exemple- car normalement il n’y a pas de divine liturgie qui est célébré le soir. Mais je constate que sur le programme de la paroisse que vous mentionnez, effectivement il y mentionné cet office pour 18h 30 !?

Maintenant je n’ai pas assez d’expérience pour comprendre le pourquoi du comment de cette divine liturgie de st. Jean Chrysostome à 18h30 !?

[Anne Geneviève]

Très simple : c'est pour que les fidèles qui travaillent puissent assister à la liturgie de la résurrection de Lazare, que ce ne soit pas réservé au clergé et aux retraités !

[J-Gabriel]

On peut aussi prendre congé ces jours là.

[Claude le Liseur]

On peut aussi prendre congé ces jours là.

Oui, mais ce n'est pas si facile. Alors, vive les liturgies le soir, et vive le nouveau calendrier qui avait aussi été conçu pour permettre aux orthodoxes d'Amérique d'aller à l'église le dimanche...

De toute façon, il faut rappeler que la journée liturgique va du soir au soir suivant. Donc, le samedi à 18h30, c'est déjà le dimanche, du point de vue liturgique.

[J-Gabriel]

Oui, mais ce n'est pas si facile. Alors, vive les liturgies le soir, et vive le nouveau calendrier qui avait aussi été conçu pour permettre aux orthodoxes d'Amérique d'aller à l'église le dimanche...

Vous charriez ?

De toute façon, il faut rappeler que la journée liturgique va du soir au soir suivant

Oui à cause que d’abord Dieu créa le ciel et la terre (couvert du néant) et ensuite la lumière (Gn 1).

Donc, le samedi à 18h30, c'est déjà le dimanche, du point de vue liturgique.

Oui mais alors l’office des vêpres, vigiles ? Et pourquoi commencer la Divine Liturgie le jour et finir quand la nuit est tombé (cf. 18h30 le 27 mars 2010) ?

[Anne Geneviève]

De loin, c'est facile : y a qu'à, faut qu'on... Mais une paroisse, c'est une réalité vivante, concrète, avec ses propres besoins et ses propres difficultés. C'est plus facile de chanter les vêpres et vigiles dans une paroisse cathédrale avec un chœur conséquent et un clergé assez nombreux que dans une petite paroisse qui fait avec les moyens du bord.